L'objectif de se cours est de permettre aux étudiant.e.s qui le souhaitent de suivre (en L2 en tant qu'UE8 et en L3 en tant qu'UE9) un cours qui leur donnera des clés de compréhension des dynamiques entre les genres dans l'Antiquité. En effet, plutôt que de considérer l'Antiquité comme éminemment actuelle, nous essayerons de prendre du recul par rapport à cette période si différente de la nôtre afin de pouvoir mieux éclairer notre époque moderne.

Le cours sera divisé en douze séances qui aborderont chacune une thématique en lien avec les études de genre dans l'Antiquité. Du fait de certains sujets abordés, je vous laisse apprécier la programme envisagé. Si je ne suis pas friand des avertissements en temps normal (ou warning trigger), j'attire malgré tout votre attention sur la séance 3 qui pourrait mettre mal à l'aise certain.e.s d'entre vous.   

Séance 1 : Le statut de la femme  et de l’homme dans l’Antiquité (généralités et éléments de compréhension) 

Séance 2 : Désir, mariage et vie de couple

Séance 3 : Pratiques du rapt : une poétisation de la violence physique.

Séance 4 : Femmes puissantes et codes vestimentaires

Séance 5 : Genres et médecine

Séance 6 :  La peur de l'infanticide : le cas de Médée.

Séance 5 : Femme, espace public et législation

Séance 6 : Femmes de science et amours sapphiques

PAUSE PÉDAGOGIQUE

Séance 7 : La prostitution dans l’Antiquité

Séance 8 : L'idée de culpabilité

Séance 9 : La maternité, le genre et la langue.

Séance 10 : Hommes et femmes viril.e.s

Séance 11 : Aux frontières du genre antique

Séance 12 : Réécritures modernes de mythes antiques : la possession du corps-objet dans Galatée de Madeline Miller.

IMPORTANT : 

En L2 vous pouvez choisir mon cours en tant qu'UE 8, dans ce cas, vous devez vous inscrire au préalable.

En L3, vous pouvez directement vous inscrire auprès de moi. Je communiquerai au secrétariat du département le nom des inscrit.e.s.

Les supports de cours seront mis sur Moodle au fil du semestre.

Les modalités d'évaluation seront précisées en cours. 

A bientôt,

Benjamin Demassieux